Changer l'écran d'un Netbook
Acer Aspire One 150


Acer Netbook Hacke
Voici le type ! (c'est pas de moi la déco ^^)


C’est en me voyant avec un netbook que ma collègue de travail me raconta que son fils avait cassé l’écran de son ‘petit ordinateur portable’. Je lui ai donc expliqué qu’il était peut être possible de remplacer cet écran et que je me renseignerais sur le coût éventuel. Après avoir eu les infos sur la machine, un petit tour sur ebay et j’étais fixé ! =) Une cinquantaine d’euros l’écran, frais de port compris. Parfois il vaut mieux ça que re-payer un netbook non ?

La livraison fut rapide même si l’écran venait du pays du soleil levant.

Allez hop on va ouvrir la bête et découvrir que changer son écran c’est pas si compliqué que cela.


Voici le pourquoi ...
Ecran Acer origine



Première étape : on dévisse !


La première étape est d’enlever toute la visserie afin de pouvoir ouvrir l’encadrement tout autour de l’écran.

vis à dévisser, coin supérieur droit !
devisser au coin droite



Il y a en tout 6 vis si je me rappelle bien + 2 caches …

Ne perdez pas les vis... ni les caches vis
vis ecran



Seconde étape : on ouvre


Une fois toutes les vis autour de l’écran enlevées, essayer de soulever le bord comme ci dessous :

ecarter le cadre


Tout doit se dé-clipser… il ne faut pas trop forcer.

declipser

Voici au niveau des charnières …
charniere

charniere2


Troisième étape : on débranche et on re-dévisse


Bon, maintenant il faut dévisser l’écran mais avant tout : débrancher la webcam et le wifi …

Wifi-1


Il faut débrancher le connecteur blanc
connecteur blanc

L'un est la webcam... l'autre ... le wifi il me semble : mais faut le débrancher quand même
webcam

Voici à quoi cela ressemble une fois "désenfiché".
desenficher

Voici une des vis à enlever qui maintiens l'écran.
cable ecran



Allez, une série de photos avec les différentes vis …

écran sale
ecran sale

Ecran maintenu par la charnière
charniere maintient ecran

Vis de maintien
vis ecran-1



Quatrième étape : on décolle le câblage au dos de l’écran

Il faut maintenant retirer le câblage qui est collé/scotché au dos de l’écran.

Voici le dos de l'écran
nappe ecran de dos



Cinquième étape : on replace le nouvel écran

Et voilà, le bel écran tout neuf
nouveau ecran 10_

écran de l'acer A150 acheté sur eBay
nouveau ecran dos


Allez allez, faut tout rebrancher.

A cette étape, c’est pas plus dur qu’à l’aller … on refait tout à l’envers :

- On remet le câblage à l’arrière de l’écran

dont touch

la nappe pour écran
branchement nappe ecran

connexion de la nappe LCD
connexion nappe lcd

Il ne faut y aller bien fort et tout rentre nickel
connexion nappe lcd-1

Nappe LCD connectée
nappe lcd connecté


et voilà ...

câble noir
cable noir


On remet tout à sa place

Fixer le LCD dans son cadre en metal
fixer ecran dans son cadre  metal


Ha oui, n'oubliez pas de récupérer et de monter ceci sur le nouvel écran ...

... il faut tous les remettres sur le nouvel écran

cadre en metal


- et pour la suite, il suffit de tout revisser.

Une fois tout revissé, remettez la batterie et allumez votre netbook !

Désolé je n’ai pas pris de photo de tout ça car l’ordi n’était pas à moi et les choses affichés à l’écran était personnelle.

D’après son propriétaire, les couleurs sont mieux que sur la dalle d’origine … il est content, c’est l’essentiel !

J’espère que, si ça vous arrive, tout se passera aussi bien que moi.


Source : Benjamin Aparicio


Directory Blaster Boure de séparation Windows Trust 3 Boure de séparation Teleport

Test de RapidWeaver 4

par
Eric Chautrand le 27.06.2008 à 09:01


Si créer un site Internet ou un blog semble une affaire entendue, il n’empêche que le choix de l’application à utiliser n’est pas si simple. Entre les programmes complexes nécessitant des connaissances de codage et les logiciels de blogging en ligne au formatage souvent strict, il reste les iApps au fonctionnement souple et intuitif. Si iWeb (
lire notre test) est désormais bien connu, c’est à la dernière version de RapidWeaver, son véritable concurrent, que nous nous intéressons aujourd’hui.

p0



L’installation de RapidWeaver ne pose aucun problème, il suffit juste après téléchargement et montage de l’image disque de déposer l’icône du programme dans le dossier Applications de Leopard. Notez que RapidWeaver fonctionne en mode démo tant que l’on n’a pas entré de serial. Dans ce cas, RapidWeaver ne crée que 3 pages par sites. Après lancement, il convient de créer un nouveau projet via l’article du menu File pour faire apparaître l’interface.

Trois groupes de boutons disposés dans une barre chapeautent la zone de visualisation et d‘édition des pages. Le premier gère l’ajout de pages et les modes d’affichage de RapidWeaver, le second les fonctions d’édition et le dernier, celles de publication.

p1
La plupart des fonctions de RapidWeaver se gère via les 9 boutons placés dans la partie supérieure de l’interface.


La création débute par l’ajout d’une nouvelle page via le bouton Add. Une fenêtre de sélection propose le choix entre une dizaine de tâches type : de la page simple en texte stylisé au formulaire en passant par l’album photo, vidéo (QuickTime, Real) à la iFrame, une page capable d’inclure des pages d’un autre site.

p2
Le navigateur de présélections de pages facilite la création dès le commencement du projet de site


Un choix qui peut paraître singulier pour un développeur confirmé, mais qui permet au novice de ne pas se poser de question pour réaliser ce travail ! Ceux qui veulent toutefois tâter du codage en HTML pourront le faire via la présélection HTML Code et éditer à la volée les balises.

Création
La page « tout venant » est la Styled Text dans laquelle l’utilisateur fait glisser toutes sortes de médias, texte, image ou vidéo, à partir du Finder, dans un premier temps. Une fois sélectionnée et validée dans le navigateur de presets, la page apparaît sous forme d’icône dans la bande latérale gauche de l’interface. On peut répéter le processus à loisir pour rajouter de nouvelles pages, en dupliquer et même choisir d'en créer plusieurs en une fois.

Plusieurs pages de modèles différents peuvent être générées d’un coup en effectuant une sélection multiple à partir du navigateur. L’ordre des pages constitue la future barre de navigation du site.

Bien entendu, il est possible de réordonner à la volée cet agencement de manière à modifier l’ordre établi lors de la création. De même, glisser une page sur une autre crée une arborescence de type « dossier hébergeant d’autres pages », une astuce très intéressante lorsque le site se complexifie au fil de sa construction.

3



L’ajout de texte s’effectue par glisser/déposer d’un fichier ouvert par une autre application, ou copier/coller. La mise en forme est conservée si le texte provient d’un document Word, RTF ou étalé dans l’espace disponible de RapidWeaver en mode texte (txt). Son formatage s’effectue alors via le menu Format ou, plus simplement, à partir de la barre de boutons située dans la zone inférieure de l’interface.

C’est aussi de cet endroit qu’un lien sur un mot, groupe de mot ou image peut être inséré. À ce sujet, on peut regretter que RapidWeaver ne propose pas la gestion des images maps ou cartes image, la possibilité d’insérer plusieurs liens différents sur une image, une fonction appréciable sur un bandeau de logos, par exemple.

4



Côté images toujours, leur dépôt sur une page s’effectue par glissé du Finder à l’endroit désiré du texte, ou mieux encore, à partir de la palette iMedia Browser, le navigateur de médias qu’on retrouve dans les iApps Apple.

5



La palette Media inspector propose la mise à l’échelle de la photo, l’ajout d’un cadre personnalisé (couleur, épaisseur) ou d’une ombre portée éditable. Dès que l’on a façonné l’ensemble des pages, il devient possible de choisir le (ou les) thèmes graphiques du site. Chaque page peut en effet disposer de son propre thème (peu recommandé) !

En optant pour l’article Show Themes du menu View, l’interface laisse apparaître un tiroir ajustable dans sa partie inférieure. Le choix semble impressionnant, du moins au premier abord. Dans les faits, et après expertise, ces thèmes ont souvent un air de famille et offrent des looks plutôt stricts, convenus et montés sur une seule colonne de texte. En tout cas, beaucoup moins fun que ce que propose iWeb, par exemple. Un clic sur l’un d’eux suffit à en effectuer la prévisualisation sur la page en cours de création (en mode preview).

p6
Le sélecteur de thèmes avec prévisualisation immédiate sur la page en cours d’édition


On s’appuiera sur l’importante communauté de développeurs pour télécharger de nouveaux thèmes, gratuits ou payants, accessible à partir du site de l’éditeur. Les attributs du site et de la page en cours sont constitués de champs textes à remplir via une boîte de dialogue dédiée (bouton Setup). Là encore, tout est facilité puisqu'une adresse email de contact, les notifications liées au copyright situées dans le pied de page (fauter), le slogan, le titre du site, le favicon et les metatags se génèrent en une passe, une fois pour toutes.

Images animées
RapidWeaver 4 met l’accent sur le multimédia en offrant la mise en ligne de galeries d’images animées, motorisées par Flash. La collaboration avec iPhoto est parfaite puisque chacun des albums existants dans l’application Apple se retrouve listé en mode d’édition d’une page image.

La sélection de l’un d’eux fait apparaître les vignettes de clichés le composant, une coche servant à retenir ou non ceux que l’on désire conserver dans le futur diaporama. La palette d’info suffit au paramétrage complet du film, ajout de musique, durée d’affichage, transition, indexation chez FlickR…

p7
Edition d’un diaporama à partir d’un album iPhoto


La prévisualisation de la page ne prend que quelques secondes, le résultat frisant l’excellence. Reste qu’iPhoto ne constitue que l’une des sources possibles de création, Aperture, Lightroom et toutes les images résidant dans le dossier Images du Mac étant aussi éligibles. La création d’une page QuickTime ou d’une galerie vidéo s’effectue avec la même souplesse, en utilisant cette fois le Finder ou la palette iMedia comme source d’origine des médias.

RapidWeaver pour blogguer
En ajoutant une page blog, l’utilisateur sait utiliser RapidWeaver comme un logiciel de blog. L’interface sert d’abord à créer les nouvelles entrées, chacune se décomposant alors en résumé et corps de texte principal. Rien n’empêche d’ajouter des images, dans l’une ou l’autre des parties du billet. Les options du blog s’ajustent à partir de l’inspecteur de page : tags, noms du blog, nombre et type de catégories d’entrées, ping, le référencement vers les principaux trackers de blogs et surtout élaboration du flux RSS pour l’abonnement des visiteurs sont au programme. Les étapes consistent, comme à l’accoutumée, à remplir des champs dont les objets sont clairement définis. En cas d’existence d’un flux déjà référencé, RapidWeaver propose d’entrer cette adresse en lieu et place de celle à générer lors de la publication du site. Simple et efficace !

p8
Edition des paramètres du flux RSS avant publication du blog



Pour aller plus loin …
La création d’une page en mode HTML permet d’entrer (ou de copier) puis éditer du code à la main. Mais pas uniquement du HTML, PHP, JavaScript et les CSS sont totalement acceptés par RapidWeaver. Il suffit que l’inspecteur de page soit au courant pour que RapidWeaver accepte de traiter et de prévisualiser le code. Plus fort encore, RapidWeaver introduit le concept de Snippets, des petits bouts de code servant à apporter des fonctions à une page donnée. Le site de l’éditeur est encore une fois le bon endroit pour télécharger ces fragments que l’on placera dans le dossier Utilisateurs/Applications Support/RapidWeaver/Snippets pour en profiter en permanence via la palette éponyme de RapidWeaver. Un simple glisser/déposer suffit alors à ajouter un calendrier, la date et l’heure courante dans l’entête de page ou créer un champ de sélection par pays, par exemple. Autant dire que la plupart de ces bouts de code sont gratuits et que la liste des fonctions disponibles est plus longue que cet article !

Publication
RapidWeaver propose 3 modes d’exportation, dans un dossier sur le Mac (via l’article Export Site), vers un compte .Mac dont il sait configurer l’accès automatiquement lorsque disponible ou par FTP vers un site personnel, l’utilisateur se chargeant d’indiquer dans les champs ad hoc l’adresse du serveur, l’ID et le mot de passe associé. Une animation se charge d’afficher l’état d’envoi des fichiers vers l’emplacement sélectionné.

Notons également la fonction Smart Publishing qui propose, lorsque le site a déjà été publié, de n’envoyer que les changements effectués depuis la dernière publication. Ne reste plus qu’à visiter le site avec son navigateur favori, RapidWeaver étant compatible avec tout ce qui se fait en ce moment, sur Mac comme sur PC.

Le mot de la fin
Le bilan de cette version 4 est donc positif à plus d’un titre. On retient particulièrement sa facilité d’utilisation, son aptitude à proposer des créations évoluées pour tous les niveaux d’utilisateurs et d’utilisation.

Autre point important, surtout en regard de son concurrent direct qu’est iWeb, son aptitude à générer du code propre. N’importe quel développeur saura réutiliser les pages générées à partir d’un autre logiciel d’édition de pages web. Ce qui n’est pas vraiment le cas d’iWeb qui publie les pages dans d’innombrables dossiers, dont la hiérarchie et le système d’attribution de noms risquent de plonger le novice (et les autres) dans une torpeur bien légitime ! Pour autant, RapidWeaver n’est pas la panacée, iWeb fait mieux en matière d’apparence graphique, ses thèmes sont plus recherchés, il sait gérer les cartes image sur les photos et est localisé en français. Concernant ce dernier point, Realmac Software promet de corriger le tir prochainement.


Source


EeeMac enterré Boure de séparation Universal Netbook Installer Boure de séparation Renaissance NC10


Cliquez moi et Votez moi